25 septembre 2005
E
Là-haut, sur ma montagne de S***, plus personne ne me nuit : hors d'atteinte, et définitivement. Je resterais bien ainsi, pour l'éternité, allongé au pied des cocotiers, à regarder passer les nuages, les gens.
Mais cet instant sans fin me
suffit.
« Que rien ne t'arrête, auguste
retraite ».
La poésie en mots, en actes.
Sifflement ténu. Fais bien
attention à la bande-son…
Au pied des cocotiers je dors.
Autour de moi les étoiles décrivent des cercles parfaits.
Oui, c'est cela: donner vie,
existence et plus à l'univers, le laisser s'épanouir en soi ...
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