11 septembre 2005
D
J’allume l’écran,
j’y trouve des nuits blanches.
Devant moi surgit une ville inconnue,
des appels de phare dans la nuit,
un embouteillage de formes colorées.
Le loup noir est à l’affût – Les étoiles se lèvent !
Puis je suis pilote d’un rallye –
Perdue dans un labyrinthe !
Autour de moi des petits murets explosent sans bruit,
Une guirlande de danseurs me suit,
Leurs tambourins et leurs cymbales.
Quand plus tard l’écran s’éteindra,
Il n’y aura plus rien,
Plus rien qu’un espoir de lune,
De soleil couchant,
Et toi présent.
J’y trouve des nuits blanches.
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